Semaine 44 2025
À 52 ans, se lancer dans un raid à vélo en Patagonie, c’est un peu comme s’inscrire à Koh-Lanta après dix ans de raclette et de siestes devant Top Chef. Sauf que cette fois, Denis Brogniart n’est pas là pour me sortir le totem d'immunité : il n’y a que moi, mes deux compagnons, mon vélo, et 2 800 km de vent, de boue et de montagnes qui se profilent. On rêve de quelques journées de grand soleil bien entendu, mais rien n'est moins sur. Pour ne pas finir en PLS dans un fossé, j’ai pris une grande décision : pousser mes limites une fois de plus en m’inscrivant au CrossFit à 51 ans.
Après trois séances seulement, j’ai compris une chose : le CrossFit, c’est l’art de transformer un quinqua un peu ramolli en machine de guerre. Mais il ne faut pas rêver, ce miracle se paye en sueur !
Quand j’ai annoncé à mes potes que je partais pour 60 jours de vélo en Patagonie, leurs réactions ont oscillé entre « T’es complètement fou ! », « il fait sa crise de la cinquantaine », et « il a déjà perdu ses cheveux, il peut bien perdre la tête ! ». Mais pour ne pas finir comme un boulet derrière Stéphane et Daniel, j’ai adopté le CrossFit. Parce qu’à 51 ans, préparer un raid extrême en autonomie et en bivouac sans entraînement, c’est comme sauter en parachute avec un sac vide : ça finit mal.
Pour l’instant, je vois le CrossFit comme un stage commando pour civils. On te fait soulever des haltères dignes de Thor, sauter comme un kangourou sous amphet’, ramper comme Rambo et ramer plus vite que Tony Estanguet. Mon premier WOD (Work Of the Day, les francophones vont adorer) a été un véritable choc. « 10 deadlifts, 20 burpees, 400 m avec un sac de cailloux ». J’ai cru que j’allais y rester. Mais j’ai découvert que mon cœur, en plus d’être généreux, était capable de soutenir l’effort. Et j’ai recommencé, porté par les encouragements du groupe et du coach. Et peu à peu, j’ai réalisé : si mes jambes survivent à ces entraînements, la Patagonie, finalement, c’est jouable.
Évidemment, ce qui motive, c’est de voir le corps des aficionados de la discipline : sveltes, dessinés, taillés en V. Tout ce que j’espère pour Noël ! Avec l’entraînement combiné du CrossFit et du vélo, je sens déjà mon souffle s’amplifier et, surtout, mon mental prendre confiance, m'assurant que je peux affronter n’importe quel défi. Même un vent patagon à 100 km/h !
Mes premières séances ont été adaptées avec l’entraîneur : moins de poids, plus de technique et de précision, et bien sûr, je fais le trajet à vélo pour aller jusqu’à la salle. Entre deux séances, je me rappelle pourquoi je fais tout ça : pour arriver au départ à Puerto Montt en me disant, « J’ai tout donné, maintenant, je profite. » Je veux vivre cette aventure sans craindre de craquer physiquement. Il me restera le moral à gérer sur place.
Alors oui, parfois je râle. Souvent, je cherche des excuses pour ne pas y aller. Parfois, j’enrage. Mais chaque fois que je réussis un mouvement que je pensais impossible ou que je porte mes 80 kilos sans flancher, je sais que je suis sur la bonne voie. Mon coach a raison : « La douleur est temporaire. Ta fierté, c’est de pouvoir dire : ‘Je l’ai fait.’ »
La Patagonie m’attend. Et cette fois, c’est moi qui vais lui mettre une tôle. Si je survis à l’entraînement, le raid devrait être une formalité. Non ?
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Semaine 43 2025
Ou comment, sans y prendre garde, on finit par préférer la selle à son canapé
Il y a des habitudes qui s’installent en douceur, comme une marée montante. On ne voit pas l’eau avancer, et pourtant, un jour, on se retrouve les pieds dans l’eau, le sourire aux lèvres, et l’envie viscérale de ne plus jamais quitter l’océan. Le vélo au Pays Basque, c’est un peu ça : une addiction lente, une histoire d’amour qui commence par des « je vais essayer »et qui finit par des « je ne peux plus m’en passer ».
L'alchimie secrète fait des merveilles.
Au début, c’est l’épreuve. Les cuisses protestent, le souffle s’emballe, et chaque côte semble être une punition inventée par un dieu sadique. « Pourquoi je fais ça ? » On se le demande, sincèrement, en sueur et en râlant, surtout quand la route serpente vers Hendaye ou qu’elle grimpe vers la Rhune.
Et puis, un matin, le miracle se produit. Pas de fanfare, pas de feu d’artifice : juste le constat, presque timide, que « c’est plus facile ». Les jambes tournent, le cœur bat à un rythme régulier, et cette fameuse côte, celle qui vous faisait maudire le jour où vous aviez décidé de vous y mettre, devient presque… amusante. « Tiens, je vais la monter sans changer de braquet ».
Le corps a changé. Pas de façon spectaculaire, pas comme dans les publicités pour les salles de sport, mais en douceur, en profondeur. Les muscles se sont invités là où il y avait de la mollesse, l’endurance a remplacé l’essoufflement, et chaque sortie devient une célébration silencieuse de cette nouvelle force, presque surprenante.
La Thérapie à Deux Roues.
Si le corps se transforme, l’esprit, lui, s’envole. Parce que le Pays Basque à vélo, c’est une cure de bonheur à chaque coup de pédale. Imaginez : l’air marin qui fouette le visage, les odeurs de terre humide et de pin, les cloches des troupeaux qui résonnent dans les collines, et cette lumière si particulière, dorée et changeante, qui fait de chaque trajet une œuvre d’art éphémère.
Les scientifiques parlent d’endorphines, ces hormones du bien-être que le sport libère. Mais ici, c’est comme si la nature avait décidé de doubler la dose. Après quelques semaines, on se surprend à rire sous la pluie, à saluer les vaches comme des vieilles copines, à trouver un plaisir presque enfantin à dévaler les descentes, les bras grands ouverts, comme si on était le héros d’un film.
Et puis, il y a cette fierté, discrète mais tenace. « Regarde jusqu’où tu es arrivé », murmure une petite voix, chaque fois que l’on passe devant un panneau « Col à 5 km » sans une once d’appréhension. Le stress, les tracas, les doutes : ils restent au pied des collines, bien loin des routes basques.
Le Pays Basque, notre de jeu sans limite.
Ici, le vélo n’est pas une contrainte, c’est une liberté. Une liberté de s’arrêter dans un village pour déguster un gâteau basque encore tiède, de bifurquer sur un chemin de terre parce que « ça a l’air sympa », de longer l’océan en se disant que, décidément, la vie est belle.
Les paysages défilent, mais une chose ne change pas : plus on pédale, plus le territoire semble se livrer, comme s’il récompensait l’effort par des panoramas toujours plus grandioses. Et puis, il y a cette communauté invisible de cyclistes, ces inconnus qui vous saluent d’un hochement de tête ou d’un « Courage ! » en montée, créant une complicité instantanée, une fraternité de la route.
Alors oui, il y aura encore des jours de pluie, des jours de fatigue, des jours où la motivation sera aussi discrète qu’un chat noir dans la nuit. Mais c’est justement ça, la magie : savoir que, malgré tout, le vélo sera là, fidèle, prêt à vous emmener un peu plus loin, un peu plus haut, un peu plus fort.
Alors, à quand votre prochaine sortie ? Parce qu’au Pays Basque, chaque coup de pédale est une promesse : celle de se sentir vivant, libre, et un peu plus heureux qu’hier.
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Passer le cap des 50 ans peut souvent être perçu comme une descente en pente douce : baisse de motivation, prise de poids (votre ceinture abdominale en témoigne peut-être ?), recours aux machines pour éviter tout effort physique, et une habitude sournoise à l’inactivité. Ce cercle insidieux peut doucement vous conduire vers une retraite sédentaire, accompagnée des défis médicaux, psychologiques et émotionnels qui en découlent.
Pourtant, il n’y a aucune fatalité. Chez nous, avec une moyenne d’âge de 53,5 ans, nous avons choisi une autre voie : celle de l’énergie et de l’insouciance. Nous nous sentons comme des enfants, jouant sur nos vélos et rêvant d’aventures sous les étoiles de la Patagonie.
Le Dr Boudjemaa, médecin du sport, le résume parfaitement : "L’activité physique après 50 ans est un véritable investissement santé. Elle impacte positivement vos années senior en apportant des bénéfices multiples, scientifiquement prouvés, qui nourrissent votre vitalité, vos ambitions et votre bien-être physique et mental."
Dans cette quête, nous avons découvert avec enthousiasme que nos compétences actuelles ne suffisent pas. Mais quelle chance ! Cela nous pousse à apprendre encore et toujours. Nous retournons à l’école - digitale et livresque - pour enrichir notre savoir : mécanique, physique, nutrition, digital... Autant de connaissances indispensables à maîtriser avant de partir pour la Patagonie. Notre objectif ? Être prêts, équipés, et armés de toutes les clés nécessaires (pas seulement à molette !).
Ainsi, nous redonnons un coup de fouet à nos corps, les stimulant à se dépasser plutôt que de céder aux effets du temps. Et que dire de l’impact sur nos facultés cognitives ? Nos apprentissages quotidiens maintiennent notre cerveau en pleine forme, boostent sa plasticité et renforcent ses performances. Ce projet ne façonne pas uniquement notre condition physique, il nourrit également notre santé mentale en nous offrant un but clair et motivant. Chaque journée est une promesse de découvertes : réparations, cuisine, sorties vélo, musculation, méditation, lecture… Un programme rempli de vie et d’envie.
Après avoir laissé derrière nous les obligations scolaires, nous redécouvrons le plaisir d’apprendre. Cette fois, c’est nous qui définissons le programme, 100% aligné avec nos passions. Grâce au digital, les savoirs qui nous manquent sont à portée de main. Internet, YouTube et d’autres plateformes regorgent de connaissances, d’expériences et de leçons, nous éclairant le chemin tout en nous évitant les erreurs de nos prédécesseurs.
Certes, notre temps d’écran a explosé ces dernières semaines, mais comment mesurer les bénéfices que nous en tirons ? À plus de 50 ans, nous gérons un blog, une chaîne YouTube, des réseaux sociaux, réparons nos vélos, préparons des repas équilibrés… Une multitude d’activités que nous apprenons et qui nous transforment chaque jour. Apprendre est sans doute l’un des plaisirs les plus doux et les plus gratifiants que nous ayons rencontrés dans ce projet jusqu'à aujourd'hui. Cela nourrit notre cerveau, et quel meilleur outil pour l’aider à s’épanouir que la connaissance ?
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51 ans. 5 ans avant la retraite. Deux chiffres qui pourraient sonner comme une fin de parcours, une lente descente vers le « c’était mieux avant ». Pourtant, pour moi, c’est tout le contraire : c’est le top départ d’une nouvelle aventure, celle où l’on ose enfin vivre à 200 % ses passions, où l’on se réinvente, où l’on apprend, où l’on se dépasse. Alors que beaucoup voient l’âge comme une limite, je le vois comme un tremplin. Et si c’était maintenant ou jamais ?
De la cabine à la piste : quand le voyage devient une quête d’aventure
Pendant 30 ans, j’ai arpenté les couloirs des avions, accueilli des milliers de passagers, vécu au rythme des escales et des fuseaux horaires. Une vie riche, intense, mais qui aujourd’hui me murmure : « Et si tu passais de l’autre côté du hublot ? » Pas pour devenir touriste, mais pour devenir l’acteur de mes propres expéditions.
Avec deux amis, Stéphane et Daniel, nous avons décidé de transformer notre amour commun pour le vélo, les grands espaces et l’aventure en un défi fou : traverser la Patagonie à VTT, de Puerto Montt à Ushuaïa, en autonomie totale, bivouacs, orientation à la boussole et rencontres humaines à l’appui. 2 500 km de pistes, de vents violents, de paysages à couper le souffle et de nuits sous les étoiles. Pas pour battre un record, mais pour vivre une aventure humaine, sportive et cinématographique.
Le raid à vélo : bien plus qu’un défi physique, une école de la réinvention
À 51 ans, on pourrait penser que le corps et l’esprit sont moins réactifs. Faux. Aujourd’hui, je m’entraîne 6 heures par jour, j’apprends à maîtriser l’orientation en pleine nature, à monter un bivouac en 10 minutes, à réparer un vélo avec trois fois rien. Je découvre aussi les outils digitaux et l’IA pour raconter notre aventure : montage vidéo, drones, storytelling… Des compétences que je n’aurais jamais cru acquérir il y a encore deux ans.
Le plus beau ? Cette préparation m’a redonné une énergie folle. Celle de l’élève qui découvre un nouveau monde, celle de l’aventurier qui se prépare à affronter l’inconnu. La retraite ? Une page qui se tourne, mais le livre, lui, est loin d’être fini.
Et si la retraite était le début d’une nouvelle carrière ?
Notre objectif ne s’arrête pas à l’arrivée à Ushuaïa. Nous voulons en faire un film, un documentaire amateur mais ambitieux, pour partager cette folie avec le plus grand nombre. Pourquoi ? Parce que nous croyons que l’aventure n’a pas d’âge, que la passion peut se transformer en projet, et que les compétences acquises dans l’aviation – rigueur, gestion du stress, travail d’équipe – sont des atouts majeurs pour réussir cette transition.
Notre rêve ? Présenter ce film dans des festivals d’aventure, inspirer d’autres quinquagénaires à osez se lancer, et pourquoi pas, faire de cette passion un métier : vidéaste, conférencier, ou même guide d’aventure. La retraite ne sera pas une fin, mais une reconversion.
L’IA et le digital deviennent des alliés pour nous les « seniors » audacieux.
Beaucoup pensent que les nouvelles technologies sont réservées aux jeunes. Détrompez-vous. Aujourd’hui, j’utilise des logiciels de montage, des drones, des outils d’IA pour optimiser nos itinéraires ou même pour écrire des scénarios. Apprendre à 50 ans, c’est possible, et c’est même exaltant ! Le numérique n’est pas une barrière, mais un accélérateur de projets.
Restez connectés pour suivre notre aventure !
Nous partagerons notre préparation, nos galères, nos victoires et bien sûr, le film de notre traversée sur [LinkedIn] et [notre futur site]. Parce que la meilleure façon de vieillir, c’est de continuer à grandir.
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Semaine 42 2025
On en rêve toute l'année, les attend comme des gamins le père Noël : les congés payés ! La routine du travail finit forcément par lasser, et même si les collègues sont sympas, difficile de retenir son allant lorsqu'on sent revenir les barbecues "avé les copains", poindre la liberté des jours passés les pieds nus dans le sable et la tête ailleurs...
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Semaine 39 2025
Il y a des matins où le miroir vous rappelle avec une franchise déconcertante que le temps a passé. Cernes au charbon et mine bouffie, cheveux grisonnants ou pris par une irrémédiable chute, il subsiste pourtant dans ce constat matinal de champ de bataille une vérité restée assez silencieuse : l'écart qui s'instaure entre l'être et le paraitre, ou "l'avoir été" selon l'adage.
50 ans ? Et alors
Qui ne ressent pas cette gêne étrange causée par le fossé qui se creuse entre le gamin resté debout sur son vélo à rêver, et le statut de pré-retraité vers lequel je chemine aussi surement que j'avance vers Ushuaïa ? Mon corps vieillit, irrémédiablement, mais mon mental reste l'insouciant qu'il n'a jamais cessé d'être, la liste de mes envies ne cessant de s'allonger malgré les accomplissements et les expériences vécues. Pourtant, mes conversations professionnelles s'épuisent sur les projections de salaire à la retraite, alors que mon esprit s'ébroue quelque part dans un torrent argentin à contempler les étoiles et laisser s'enfuir les années. Celui qui s'apprête à tenter l'aventure en Patagonie n'est rien d'autre que l'enfant que nous avons un jour accepté de laisser partir. Le bonheur nous est donné d'être à nouveau des gosses Pourtant je vois bien Quand je parle de dormir dehors sous une tente, je vois bien les sourcils polis des copains hésitants ou les "bravo papi pour le défi" des Y et 2000 qui se retiennent quand même de rire, mais certainement pas de nous envoyer à l'Ehpad une fois le délire de notre dernière aventure achevé.
Sillonner la Patagonie sera exigeant, ça nous prend déjà pas mal d’audace de nous projeter, avec en ligne de mire la résilience conquise par le sport sur ce temps qui passe sans plus être une limite. Nous préférons l'aborder comme un nouvel horizon, posé plus loin encore, créant ainsi de l'espace, un terrain de jeu suffisamment grand, une distance suffisante, pour faire la promesse à nos enfants intérieurs de vivre pour longtemps encore, de joyeuses turpides tant qu'ira le corps.
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Le voyage est avant toute chose une invitation à l'ouverture, chaque rencontre marquant l'itinéraire d'une pierre précieuse, trésor inestimable dans lequel on reviendra puiser encore et encore le plaisir profond du souvenir, ce bien intangible qui nourrit l'âme bien au-delà de la simple expérience. Nous partons le coeur ouvert et l'espoir vibrant de croiser sur notre chemin d'autres horizons que le nôtre, d'autres vies, d'autres existences. Rien n'est plus enrichissant et transformateur que de confronter sa propre culture à celle d'un inconnu et de s'enrichir de perspectives nouvelles.
La Patagonie pourrait paraitre inhospitalière quand on s'arrête aux rudesses extrêmes de la météo qui déferle sur ce bout de terre, battant sans relâche ses paysages sauvages, et pourtant, les humains y ont trouvé un point d'ancrage solide et se sont adaptés avec ingéniosité au milieu pour en tirer le meilleur profit possible. Ainsi, des communautés autochtones uniques occupent l'espace et peuplent nos imaginaires de leurs légendes millénaires, transmises avec soin de génération en génération. La "carratera austral" relie le Chili et ses nombreuses cultures riches et variées, et nous espérons de tout coeur pouvoir partager des moments précieux avec les descendants des premières nations, gardiens de traditions ancestrales.
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Les super-pouvoirs du chia pour booster sa pratique sportive
A la cherches d'un allié naturel pour progresser dans une pratique sportive, améliorer l'endurance et récupérer plus vite ? Oublie les poudres chimiques et les boissons ultra-sucrées : les graines de chia pourraient bien devenir ton carburant préféré, car elle apporte une énergie qui dure. Les graines de chia sont de véritables batteries miniatures. Riches en glucides complexes, elles libèrent de l’énergie progressivement avec un résultat que nous recherchons tous : pas de coup de barre en plein milieu de l'entrainement mais une vitalité constante, idéale pour tes séances de course à pied, de vélo ou de musculation.
La “Chia Fresca”
Connus pour courir des centaines de kilomètres, les Tamahuras mexicains consomment depuis des siècles une boisson à base de chia appelée Iskiate :
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1 grand verre d’eau fraîche
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1 cuillère à soupe de graines de chia
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Un filet de jus de citron ou d’orange
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Une pointe de miel (optionnel)
Mélange, laisse reposer quelques minutes, et tu obtiens une boisson hydratante, énergétique et 100 % naturelle. Parfaite avant ou après l’entraînement, c'est un véritable atout hydratation. Le chia peut absorber jusqu’à 10 fois son poids en eau. Mélangées à une boisson, les graines forment un gel, appelé mucilage qui ralentit la déshydratation et prolonge la sensation de fraîcheur pendant l’effort. Un vrai plus quand tu transpires à grosses gouttes en salle de sport.
Récupération express
Avec environ 20 % de protéines végétales, le chia aide à réparer les fibres musculaires sollicitées. Ajoute à ça des acides aminés essentiels et tu as un cocktail parfait pour accélérer la récupération. Moins de courbatures, plus de régularité dans tes entraînements et une endurance décuplée, c''est tout gagné.
Les oméga-3 contenus dans le chia soutiennent le coeur et la circulation sanguine pour une meilleure oxygénation des muscles, plus d’endurance et moins de fatigue. Et cerise sur le gâteau : leurs antioxydants protègent les cellules du stress causé par l’effort intense.
Comment l’intégrer à ton quotidien ?
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Dans un smoothie énergétique avant l’entraînement.
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En pudding de chia pour un petit-déjeuner complet.
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Mélangé à une boisson maison pour créer une gélée hydratante naturelle.
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Intégré dans des barres sportives maison pour les longues sorties.
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